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Hypnose & imagination : la performance rêvée


𝐷𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑣𝑜𝑢𝑠, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑛𝑖𝑚𝑎𝑢𝑥 𝑠𝑒 𝑡𝑜𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡, 𝑝𝑟𝑒̂𝑡𝑠 𝑎̀ 𝑙’𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 ; 𝑙’𝑢𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝑒𝑠𝑝𝑒̀𝑐𝑒 « 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 » 𝑒𝑡 𝑙’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 « 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛𝑠 ».

𝐷’𝑜𝑢̀ 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟 𝑚𝑜𝑢𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑎 𝑙’𝑒𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟 ?


𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑖𝑒𝑧 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑’𝑢𝑛 𝑚𝑎𝑡𝑐ℎ 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙’𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛.

𝑆𝑎𝑛𝑠 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑖𝑛𝑓𝑜 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑡𝑒𝑠, 𝑠𝑢𝑟 𝑞𝑢𝑖 𝑚𝑖𝑠𝑒𝑧-𝑣𝑜𝑢𝑠 ?


𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑒𝑠𝑡𝑒𝑧 𝑢𝑛𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑔𝑎̂𝑡𝑒𝑎𝑢 ( 𝑜𝑢 𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑖𝑐ℎ𝑒 𝑜𝑢 𝑑𝑒 … ).

𝑆𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑛𝑖 𝑖𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑎̀ 𝑑𝑖𝑠𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑚𝑒𝑡𝑡𝑒𝑧 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑’𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑢 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑧 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 ?


𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑒̂𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑑𝑟𝑎𝑛 𝑞𝑢𝑖 𝑠𝑦𝑚𝑏𝑜𝑙𝑖𝑠𝑒 𝑣𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎̀ ( 𝑢𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒̀𝑔𝑢𝑒, 𝑝𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒, 𝑎𝑚𝑖 … ) 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑'𝑢𝑛 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑙'𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛.

𝐷𝑒 𝑞𝑢𝑒𝑙 𝑐𝑜̂𝑡𝑒́ 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒𝑧 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑔𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑗𝑎𝑢𝑔𝑒


𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑧 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒́𝑐𝑖𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑣𝑜𝑢𝑠.

𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑒𝑧 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙’𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑢 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 ?


𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑧 𝑎𝑐𝑐𝑟𝑜𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑎𝑢𝑥 𝑐𝑜̂𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑜̂𝑡𝑒, 𝑙’𝑢𝑛 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑙’𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑙’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛.

𝐸𝑛 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑠, 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑛𝑛𝑒𝑎𝑢𝑥 : « 𝐹𝑜𝑟𝑡 » 𝑒𝑡 « 𝐹𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒 ».

𝑄𝑢𝑒𝑙 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑥 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒𝑠-𝑣𝑜𝑢𝑠 ?


Ni bonnes ni mauvaise réponses, simplement les vôtres.


𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑒̂𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑑’𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠. 𝐼𝑙𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑛𝑡 : «  𝐿’𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑐̧𝑎 𝑠𝑒𝑟𝑡 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑜𝑖 ? »

𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑒̂𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑑’𝑎𝑑𝑢𝑙𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒́𝑢𝑛𝑖𝑜𝑛, 𝑜𝑛 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒 : «  𝐿’𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑐̧𝑎 𝑠𝑒𝑟𝑡 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑜𝑖 ? »

𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑒̂𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑑’𝑎𝑚𝑖𝑠, 𝑖𝑙𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑛𝑡 : «  𝐿’𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑐̧𝑎 𝑠𝑒𝑟𝑡 𝑎̀ 𝑞𝑢𝑜𝑖 ? »



Ni bonnes ni mauvaises réponses, simplement les vôtres.

En voici quelques unes, ni bonnes ni mauvaises, c’est vous qui déciderez.



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Imaginer, c’est ce que l'on fait tous et toutes les nuits quand nous rêvons, même sans nous en souvenir.


Pour intégrer, digérer, faire le tri ( et même un nettoyage à grandes eaux   ) parmi tous les évènements et expériences de la journée écoulée.

Et aussi pour fabriquer un paquet de scénarios à envisager pour le lendemain et les jours à venir, histoire d'être prêt.e. à vivre d’autres évènements et expériences.


Parce que le cerveau est comme Woody Allen, il passe son temps à se faire des films ( 46 en 50 ans pour le schlémil new-yorkais).


Tous ne sont pas des chefs d'oeuvres et certains nous mettent mal à l’aise voire nous font paniquer.


Certains, surtout quand ils se répètent, peuvent d'ailleurs nous alerter sur quelque chose à explorer.

Sans forcément se fier aux interprétations génériques - personne d’autre que vous n’a les clés, puisque chaque rêveur est unique. ( Jusqu’à aujourd’hui-mais-plus-pour-très-longtemps ?  … )


Bref, imaginer, c’est 𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐯𝐢𝐭𝐚𝐥𝐞.


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Imaginer, c’est que ce font tous les inventeurs.

Sans imagination, rien de nouveau.

Éventuellement de l’innovation ( = transformer un concept, un process ou un objet qui existe déjà ).

Mais point de (vraie) disruption.


Les avancées de DeepOpenChatSeekPT pourraient bientôt nous dispenser d’imaginer par nous-mêmes.

Quand bien même : en  imaginant que le deep learning et la robotique incarnée accouchent d’une véritable Imagination Artificielle ( c’est pour demain ), ça ne nous dispensera pas de continuer à utiliser la nôtre.


Par ricochet sur les ondes des marchés, l’imagination humaine pourrait alors trouver une autre valeur : si l’imagination disruptive devient accessible en quelques prompts, les disruptions made in ℎ𝑜𝑚𝑜 𝑠𝑎𝑝𝑖𝑒𝑛𝑠 deviendront rares, donc bankable.


( En attendant, pourquoi ne pas utiliser l’IA pour en apprendre plus sur l’imagination humaine et créer des formes hybrides  :


Bref, imaginer, c’est 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐢𝐧𝐯𝐞𝐧𝐭𝐞𝐫.


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Imaginer, c’est la condition 𝑠𝑖𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑎 𝑛𝑜𝑛 pour changer.

Notre cerveau-Woody Allen a besoin de nouvelles inspirations ( ou de stagiaires ou de prompts ) pour produire en permanence de nouveaux films, autrement dit pour fabriquer de nouveaux récits.


Et quand les récits changent, les comportements changent.


C’est vrai dans la vie d’une personne : c’est même l’un des fulguropoings de l’hypnose et d’autres approches comme la PNL ou l’écriture expressive ).

L’autre fulguropoing unique à l’hypnose étant l’accès aux automatismes physiologiques, les deux combinés donnant un Goldorak assez costaud pour amener du changement ).


C’est vrai à l’échelle d’un groupe de personnes : ce qu’on se dit au sein d’une famille et qui se transmet d’une manière ou d’une autre entre générations, l’esprit d’une entreprise fondée sur des valeurs plus ou moins flexibles, les grandes lignes d’un parti politique, les 𝑑𝑟𝑎𝑚𝑎𝑠 et les hauts et les bas dans un groupe de potes, etc.


C’est vrai à l’échelle d’une société entière : ce qui se fait, ce qui ne se fait pas, ce qu’on se croit obligé.e de faire ...

Les réponses à la question « Qu’est-ce qu’une vie bonne ? » ne seront pas les mêmes à Singapour qu’à Londres ou Pékin ou Irkoutsk. ( La façon se poser la question aussi, et le fait de se la poser itou ).


À chaque échelon, des récits solidement installés.

À chaque niveau, des récits toujours malléables.


Et pour transformer un récit, il faut pouvoir l’imaginer.

Voilà peut-être où se trouve force de levier la plus forte et la plus sous-évaluée de l’imagination.


Alors que Woody Allen s’imagine en #luitoo, l’autre vague en #too a déjà brassé et remis en mouvement des tonnes de sédiments. Quoi qu'on en pense, ça a sévèrement remué dans le fonds.


Une compagnie acculée au changement peut basculer tout son 𝑏𝑢𝑠𝑖𝑛𝑒𝑠𝑠 𝑠𝑝𝑖𝑟𝑖𝑡  vers d’autres 𝑤𝑜𝑟𝑘 𝑒𝑡ℎ𝑖𝑐𝑠 et faire sa révolution ( à condition que le storytelling se retrouve acté … )


Une personne peut arrêter de se raconter toujours la même histoire sur son passé, ses capacités, son avenir pour réellement changer. Dans son esprit, dans son corps et dans ses actes, un pack 3-en-1 non dissociable, l’un entraînant de fait les deux autres.


À force se baigner toujours dans les mêmes récits, on stagne dans son propre fleuve.

Mieux vaut avoir sous la main de bons poissons nettoyeur pour ne pas finir par patauger dans les algues et dans les parasites.


Quand les récits changent, la dynamique du fleuve n’est plus la même : c’est toujours le même fleuve, mais avec un écoulement différent ( je me baigne à un endroit différent, je peux faire une bombe et un gros splash pour remuer toute la vase et faire circuler les nutriments, je peux nager ou barboter autrement, je peux flotter sur un rondin en bois, un ami.e me peut me faire découvrir un nouveau recoin, ou me faire une gros splash pour remuer ma vase … )



Bref, imaginer, c’est 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐫𝐞́𝐜𝐢𝐭 pour se changer et transformer son monde.


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𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑒̂𝑡𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑟𝑟𝑒𝑓𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛𝑠. 𝑈𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑛𝑐𝑎𝑟𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑞𝑢𝑒 « 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 » 𝑒𝑡 𝑙’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 « 𝑖𝑚𝑎𝑔𝑖𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 ».

𝐴𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑’𝑜𝑝𝑡𝑒𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙’𝑢𝑛 𝑜𝑢 𝑙’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑓𝑒𝑟𝑖𝑒𝑧 𝑑’ℎ𝑎𝑏𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑝𝑟𝑒𝑛𝑒𝑧 𝑎̀ 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒𝑟 𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠, 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡.

𝐴𝑙𝑜𝑟𝑠, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑒 𝑣𝑜𝑦𝑒𝑧 : 𝑙𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠𝑖𝑒̀𝑚𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛 𝑎̀ 𝑝𝑒𝑖𝑛𝑒 𝑐𝑎𝑐ℎ𝑒́ 𝑜𝑢̀ 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑗𝑜𝑖𝑔𝑛𝑒𝑛𝑡.

𝐸𝑛 𝑓𝑎𝑖𝑡, 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑙𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑚𝑖𝑛.



𝐈𝐦𝐚𝐠𝐢𝐧𝐞𝐫, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐡𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐫𝐞́𝐞𝐥 𝐝’𝐮𝐧 𝐭𝐨𝐧.

Gaston Bachelard


Qui sait s’il n’a pas un peu raison Gaston … non ?


 
 
 

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