ἄπνοια : 𝘢𝘱𝘯𝘦́𝘦, 𝘢𝘣𝘴𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘥’𝘢𝘪𝘳, 𝘢𝘣𝘴𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘦 𝘴𝘰𝘶𝘧𝘧𝘭𝘦.
Ne plus pouvoir souffler parce qu’on ne peut plus dormir d’un sommeil reposant.
N’en déplaise à une bienveillante formule funéraire, le repos fait aussi partie de la vie.
Le souffle et la respiration aussi.
Être en apnée involontaire une bonne partie de sa nuit, c’est donc (se) faire obstruction à la vie.
Avant toute hypnose, un premier réflexe s’impose si vous êtes alerté(e) par certains signes : investiguer tout obstacle physiologique pour qu’un éventuel diagnostic se pose - déviation des cloisons nasales, voile du palais, dépôt de tissus graisseux au niveau du cou ou du menton, maladie respiratoire sous-jacente …
https://dormezladessuscanada.ca/troubles-du-sommeil/apnee-obstructive-du-sommeil/
Alors seulement envisager de prendre le taureau ailé par ses cornes aériennes pour se redonner de l’air.
Lilly est une jeune femme de 25 ans, dont environ 12 de mauvais sommeil en raison de ronflements plus que gênants, avec réveil « dans le brouillard », mal de tête en bonus quelques fois, et énergie au tapis souvent.
Asthmatique suivie et traitée, aucune cause organique n’a été détectée. Les sprays décongestionnants et anti-histaminiques ont tous été sans effet.
Lilly a suivi deux séances d’hypnothérapie détaillées ici .
À un mois post-séances, Lilly s’est débarrassée de ses ronflements.
Elle a la sensation d’avoir un sommeil de meilleure qualité, a plus d’énergie dans la journée, peut maintenant dormir chez des amis et même n’importe où, y compris dans le train.
En cas de véritable Syndrome d’Apnée Obstructive du Sommeil ( SAOS ), l’hypnose peut aussi apporter un souffle complémentaire à une prise en charge habituelle.
En insufflant différents courants d’airs :
~ favoriser une respiration abdominale ( diaphragmatique ) pour activer une relaxation profonde via le nerf vague
~ automatiser un changement de position plus adaptée ( dormir sur le côté )
~ accompagner la libération d’un éventuel blocage des voies aériennes supérieures
~ optimiser le fonctionnement de la commande cérébrale des muscles de la respiration
~ diminuer l’anxiété au coucher ( anticipation d’un mauvais sommeil, angoisse de s’étouffer - souvent vécue en temps réel par le co-dormeur … )
Les vents de l’approche hypnotique peuvent aussi balayer d’autres domaines en périphérie :
~ agir au niveau des nuages d’hygiène de vie qui viennent alourdir l’atmoshère ( cigarette, alcool, poids, activité physique, stress…)
~ explorer un éventuel pic de foudre ou d’orage déclencheur ( moment de rupture amicale, familiale, professionnelle, identitaire… )
En cas d’appareillage ( le CPAP, son masque, ses bruits … ), l’hypnose est également une option intéressante pour améliorer l’acceptation de cette machine salvatrice mais invasive.
Pour contribuer à une meilleure respiration de l’apnéiste soulagé… et de son/sa partenaire de sommeil.
Plus globalement, l’hypnose bénéficie aujourd’hui de vents favorables dans la reconnaissance de ses bénéfices pour les troubles du sommeil.
En toute logique pour une pratique placée ( avec une brise de malentendu ) sous le signe du dieu grec du sommeil.
L’apnée que l’on choisit, c’est comme la musique, le sport ou d’autres activités plaisantes auxquelles on pourrait penser : plus on en fait, plus on l’apprécie.
L’apnée que l’on subit, c’est l’exact inverse des rêves : plus on en fait, plus on frôle s’asphyxie.
𝐿𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑟𝑒́𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑠𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑠𝑖 𝑜𝑛 𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒𝑠 𝑣𝑎𝑐𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑑'𝑖𝑟𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́.
𝐺𝑎𝑠𝑡𝑜𝑛 𝐵𝑎𝑐ℎ𝑒𝑙𝑎𝑟𝑑 / 𝑙'𝑒𝑎𝑢 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒̂𝑣𝑒𝑠
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